VERITÀ TERRIBILE: Dietro il suo dolce sorriso si nasconde la serial killer più letale d’Italia, che trasformava le sue vittime in sapone e in biscotti al tè.

Pendant des années, personne ne s’est douté que cette femme italienne à l’allure bienveillante, aux yeux tristes mais au sourire rassurant, cachait une des histoires les plus macabres de l’Italie du XXe siècle. Son nom : Leonarda Cianciulli. Mais elle est entrée dans l’histoire sous un autre surnom, infiniment plus sinistre : “La savonnière de Correggio”.

Née en 1894 dans la région de Bénévent, Leonarda mena une vie difficile, marquée par la pauvreté, les malédictions supposées, et la perte tragique de plusieurs enfants. Obsédée par la protection de son fils aîné qu’elle aimait à la folie, Leonarda en vint à croire qu’un sacrifice humain était nécessaire pour conjurer le mauvais sort. Et c’est ainsi que la douce boulangère du village, aimée pour ses biscuits et ses conseils maternels, devint une meurtrière redoutable.

Entre 1939 et 1940, elle tua au moins trois femmes dans sa maison de Correggio, dans la province de Reggio d’Émilie. Ses victimes étaient toutes des femmes seules, vulnérables, venues lui demander de l’aide pour trouver un mari, un emploi ou une nouvelle vie. Leonarda leur promettait assistance et prospérité, mais derrière cette façade se cachait une manipulation diabolique. Une fois la victime piégée, elle l’assommait à coups de hache, dépeçait le corps et utilisait la graisse pour fabriquer… du savon.

Le plus choquant ? Elle utilisait également le sang coagulé pour cuisiner des petits gâteaux au thé qu’elle servait fièrement à ses invités — souvent ses propres voisins ou des membres de sa famille. Dans des confessions glaçantes faites plus tard à la police, elle déclara avec une étrange fierté que “le savon était excellent pour la peau” et que les biscuits étaient “les meilleurs qu’elle ait jamais faits”.

Son arrestation en 1940 provoqua une onde de choc dans toute l’Italie. Lors de son procès en 1946, elle choqua encore plus l’opinion publique en racontant ses meurtres avec calme, presque comme une recette de cuisine. Les journalistes qui couvraient l’affaire furent sidérés par son absence totale de remords et par les détails sinistres, presque cliniques, de ses méthodes.

Condamnée à 30 ans de prison et 3 années supplémentaires dans un asile psychiatrique, Leonarda mourut en 1970, à l’âge de 76 ans. Mais son histoire n’a jamais été oubliée. Les casseroles, hachoirs et moules à savon qu’elle utilisait sont encore aujourd’hui exposés dans le musée criminel de Rome — preuve morbide de ce que la folie humaine peut accomplir sous une apparence parfaitement ordinaire.

Leonarda Cianciulli reste à ce jour l’une des tueuses en série les plus redoutées et déroutantes de l’histoire italienne. Son profil psychologique a fasciné des générations de criminologues : comment une mère si dévouée en apparence a-t-elle pu basculer dans une logique de sacrifice aussi atroce ? Comment une femme considérée comme une figure maternelle par ses voisins a-t-elle pu transformer leurs proches en savon et en pâtisseries ?

Son histoire est désormais contée dans des livres, des documentaires, et même des pièces de théâtre. Mais au-delà du sensationnalisme, elle soulève une question effrayante et toujours actuelle : que savons-nous vraiment des gens qui nous entourent ? Derrière les sourires les plus chaleureux peut parfois se cacher une noirceur insondable. Et dans le cas de Leonarda Cianciulli, cette noirceur sentait la lavande… et le sang.

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