Un collectionneur de reliques baptisé « Idiapaa Boпes » a soulevé le couvercle d’une collection macabre de squelettes incrustés de joyaux vieux de 400 ans, déterrés dans des églises à travers l’Europe.
L’historien de l’art Paul Kodovaris s’est caché et a photographié des dizaines de squelettes horribles dans certains des établissements religieux les plus secrets du monde.
Il est vraisemblable que certains des squelettes, que l’on dit être les restes des premiers martyrs du Christ, ont été retrouvés cachés dans des donjons et des citadins.
Saiпt Valeriaп iп Weyarп : L’historien de l’art Paul Koυdoυпaris a pourchassé et photographié des dizaines de squelettes horribles dans certains des établissements religieux les plus secrets du monde.
Saint Albert et Saint Félix : Il est vraisemblable que certains des squelettes, que l’on dit être les restes des premiers martyrs du Christ, ont été retrouvés cachés dans des donjons et des citadins.
Ils font désormais l’objet d’un nouveau livre qui, pour la première fois, met en lumière des reliques dorées oubliées.
Des milliers de squelettes ont été exhumés des catacombes de Rome au XVIe siècle et installés dans des villes d’Allemagne, d’Autriche et de Suisse sur ordre du Vatican.
Ils ont été installés dans des églises catholiques et des maisons religieuses pour remplacer les reliques détruites à la suite de la Réforme protestante au XVIe siècle.
Effrayant : Saint Déodat en Rhénanie, Suisse (à gauche) et Saint Valéty en Waldsässe (à droite). Les squelettes ont été installés dans des églises catholiques et des maisons religieuses pour remplacer les reliques détruites à la suite de la Réforme protestante au XVIe siècle.
« Après avoir été nourris dans les catacombes de Rome, les autorités du Vatican ont signé des certificats les identifiant comme martyrs, puis ont emballé les bateaux dans des caisses et les ont placés vers le nord.
« Les squelettes étaient alors habillés et décorés de bijoux, d’or et d’argent, principalement par des soldats.
« Ils devaient être administrés par ceux qui avaient fait un vœu sacré à l’Église ; ils étaient considérés comme des martyrs et on ne pouvait pas permettre à n’importe qui de les gérer.
« Ils étaient des symboles de la foi triomphante et étaient des saints dans les municipalités.
L’une des raisons pour lesquelles ils étaient si importants n’était pas leur mérite spirituel, qui était assez douteux, mais leur importance sociale.
« On pensait qu’ils étaient miraculeux et qu’ils consolidaient réellement le lien entre les gens et une ville. Cela réaffirmait le prestige de la ville elle-même. »
Et il ajouta : « Il est impossible d’attribuer une valeur modeste aux squelettes. »