Ce ne sont pas les mots d’une personne réticente à rejoindre l’Indiana Fever. C’est l’enthousiasme pur et sans filtre de Sophie Cunningham, la fervente guerrière de la WNBA, prête à faire une différence immédiate et à bouleverser la vie de Caitlin Clark et des Fever.

Alors que la légende de la WNBA Cheryl Swoopes affirmait publiquement que « personne ne veut jouer dans l’Indiana », Sophie faisait exactement le contraire : elle enflammait Internet avec sa joie de rejoindre l’équipe. De sa conférence de presse à ses entraînements et sur les réseaux sociaux, tout dans l’arrivée de Sophie crie au scandale : les Fever viennent de recevoir la pièce manquante, et les haters feraient mieux de se préparer.
Alors, où était Sophie quand elle a découvert qu’elle était échangée ?
Au bord de la piscine à Phoenix.
« J’étais littéralement au bord de la piscine », dit-elle en riant. « Au début, c’était très émouvant, car je suis à Phoenix depuis si longtemps. Mais honnêtement ? Ma première pensée a été : “Bon sang, on est sur le point de gagner un championnat.” »
Elle a clairement indiqué que cette décision ne concernait pas seulement le basket-ball, mais aussi la culture, la croissance et la victoire.
Sophie n’est pas seulement ravie d’être dans l’Indiana, elle est aussi chez elle. Originaire du Missouri, elle a confié combien il était important d’être plus proche de sa famille et de son réseau de soutien.
« Ma sœur a un enfant, et bientôt un… La famille est primordiale pour moi. Et déjà, plus de 100 personnes m’ont demandé des abonnements ! »
Dans une ligue remplie de grandes personnalités, Sophie a souligné l’importance de l’humilité et du travail acharné.
« Quand on a un groupe qui se donne à fond, sans ego, qui travaille dur pour gagner, c’est le rêve. C’est l’équipe dont j’ai envie. »
Son énergie a immédiatement séduit ses fans. Dès son entrée au Gainbridge Fieldhouse, sa passion était contagieuse.
**Ce que cela signifie pour Caitlin Clark**
Soyons réalistes : la saison dernière, Caitlin Clark a été malmenée sur le terrain. Elle a été bousculée, frappée, violemment masquée et souvent laissée sans renfort.
Maintenant ? Cela change.
Sophie Cunningham a une réputation : elle protège ses coéquipiers et ne recule pas.
« Si Caitlin le veut, je suis là pour elle. Je suis fougueux. Je suis féroce. Je défends mes coéquipiers. »
Et elle le pense vraiment. À Phoenix, Sophie était connue pour ne jamais laisser ses adversaires s’en prendre à son équipe sans en répondre. Elle apporte la même énergie à Indiana.
Ce n’est pas seulement sa ténacité qui fait de Sophie un ajout parfait.
C’est une véritable tireuse d’élite – 38 % sur trois au cours des quatre dernières saisons, avec un sommet en carrière de 40 % en 2022. Elle donne à Indiana *exactement* ce qui leur manquait l’année dernière : un autre espaceur de terrain qui oblige les défenses à rester honnêtes.
Imaginez ceci :
Clark conduit → le frappe dans le coin → Sophie réussit le trois.
Les adversaires ne peuvent plus s’effondrer sur Caitlin sans risquer des points faciles en profondeur.
Avec ses 1,85 m, Sophie peut défendre du 1er au 4e rang. Elle peut jouer arrière, ailière ou même arrière-centre. Sa polyvalence défensive offre à la coach Stephanie White une flexibilité sans précédent.
« Elle est agressive, physique et courageuse », a déclaré un assistant de Fever. « Exactement ce qu’il nous fallait. »
Sophie n’apporte pas seulement du cran, elle apporte aussi de l’expérience. Avec 15 matchs de séries éliminatoires à son actif, elle est aguerrie et a soif de progresser.
« J’ai toujours adoré Stephanie White comme coach. C’est le moment idéal pour enfin travailler ensemble. J’adore son approche offensive, son approche des joueurs ; c’est une parfaite complémentarité. »
Sophie est déjà à la salle de sport, s’entraînant avec l’entraîneur Keith Porter, effectuant des exercices de contact et des séances de tir à longue distance. Ce n’est pas une joueuse qui s’installe tranquillement dans une nouvelle ville, c’est une vétérane en mission.
« Caitlin a changé la donne », a déclaré Sophie. « Et je suis ravie de participer à quelque chose de formidable. »
Avec sa robustesse défensive, son tir d’élite, ses racines du Midwest et son énergie contagieuse, Sophie Cunningham est là pour prouver qu’Indiana est une destination incontournable – et que les Fever ne se contentent plus de reconstruire. Ils sont prêts à se battre.
Et à tous les critiques qui disent que personne ne veut jouer dans l’Indiana ?
Sophie vient de leur offrir une place au premier rang pour le spectacle.