🚨 SCANDALE F1 ! Verstappen humilie Ben Sulayem et expose les règles absurdes de la FIA !

En Formule 1, en 2025, on part de tout sauf du circuit auquel on aspire. Le champion du monde Max Verstappen entame un nouveau chapitre de son impasse avec la FIA et son président, Mohammed Ben Sulayem, pour dénoncer des allégations qu’il juge absurdes. Après une pénalité controversée au Grand Prix d’Arabie saoudite, Verstappen a opté pour la résistance passive, transformant son silence en arme redoutable. Aujourd’hui, nos dirigeants d’entreprise et nos banques se trouvent dans une situation difficile, tiraillés entre l’admiration pour leur pays et l’indignation face à un gouvernement manifestement défaillant. Retour sur un scandale qui se joue en F1.

Une punition consiste à mettre le feu au tonneau à poussière.

Au Grand Prix d’Arabie saoudite, Verstappen, qui étendait sa pole position, s’est retrouvé au cœur d’une lutte acharnée avec Oscar Piastri (McLaren) dès le premier virage. Pour conserver la tête, il faut connaître le style de piste et prendre l’avantage sur son rival. Les officiels de la FIA ont jugé cette pratique illégale et lui ont infligé une pénalité de cinq secondes, lui offrant la victoire, Piastri gagnant moins de trois secondes.

 
 
 

Immédiatement après la corrida, Verstappen a été aperçu en pleine discussion animée avec Ben Sulayem dans le parc. Des images prises par des spectateurs et partagées par le public montrent un Néerlandais visiblement frustré gesticulant devant le président de la FIA. En comparaison, elles ne sont pas diffusées par le diffuseur officiel, selon la source spéculative. Certains pensent que Ben Sulayem avait interdiction de critiquer la FIA, bien que des sources confidentielles démentent de telles déclarations.

 
 
 

Lors de la réunion d’entreprise qui a suivi la corrida, Verstappen a adopté une stratégie éloquente du silence. « Je ne peux pas exprimer mon opinion, je risque une pénalité », a-t-il déclaré, interrompant la discussion sur l’incident. Je suis sûr de leurs réponses laconiques, pompeuses et empreintes d’un sourire ironique. « Mieux vaut ne pas le faire. Le monde ne connaîtra pas la vérité », a-t-il ajouté, critiquant implicitement le nouveau code de conduite de la FIA.

Des faits controversés qui exaspèrent

Après l’accession de Mohammed Ben Sulayem à la présidence de la FIA en 2021, les tensions entre pilotes continueront de s’intensifier. En 2024, son passage sur des bâtiments a fait sensation : Verstappen a été sanctionné pour avoir utilisé un bâtiment lors d’un accident d’entreprise à Singapour. Au Rwanda, Verstappen a été contraint d’effectuer des travaux d’intérêt général et a réagi par une protestation silencieuse. Il a limité ses apparitions officielles à des performances médiocres, dépassant clairement les limites fixées par la FIA.

 
 
 

La FIA révisera son règlement pour 2025. L’article 12.2.1.f du Code Sportif International interdit désormais « toute parole, tout acte ou tout écrit ayant causé un préjudice moral ou une perte à la FIA, à ses organes, à ses membres ou à ses dirigeants ». En cas de propos inappropriés, l’amende est multipliée par quatre, soit de 10 000 à 40 000 € pour la première infraction. En cas de récidive, la sanction est assortie d’un sursis d’un mois.

Ces tests ont été perçus comme une tentative de faire taire les pilotes et ont suscité des réactions négatives. L’Association des pilotes de Grand Prix (GPDA), dirigée par George Russell, a publié une lettre ouverte exhortant Ben Sulayem à traiter les pilotes comme des adultes et à faire preuve de transparence dans l’imposition des amendes. Verstappen, soutenu par ses parents, a cristallisé cette position : « C’est ridicule. Vous ne pouvez pas me parler », a-t-il déclaré, laissant entendre que ces restrictions pourraient affecter son avenir en F1.

 
 
 

Dans la tourmente, Ben Sulayem est sous pression

Les réactions sur nos réseaux sociaux ont été explosives. D’autres critiquent l’attitude autoritaire de la FIA : « Eh bien, Sulayem, qui contrôle tout ce que disent les pilotes, est pathétique », a écrit l’un d’eux. Allons plus loin et, après avoir discuté de ce qui a été fait, examinons la méthode de sanction supplémentaire. « J’ai entendu dire que Ben Sulayem punit Max de nouvelles amendes », a déclaré un internaute.

Non, Verstappen ne nous plaît pas tous. Certains disent qu’il exagère : « Max se comporte comme un fou. Les récompenses sont les mêmes pour tout le monde », a commenté un utilisateur. Un symbole de résistance contre un gouvernement que nous jugeons oppressif.

Ben Sulayem, déjà critiqué pour son approche chaotique – déclarations de dirigeants clés, accusations de manque de transparence – se trouve dans une position délicate. Il a récemment annoncé à la presse qu’il envisageait d’« améliorer » le règlement régissant la conduite des pilotes, un aveu implicite que les actions critiques de Verstappen étaient certaines.

Un combat qui se déroule sur les pistes

Ce conflit entre Verstappen et la FIA a donné lieu à une simple sanction. Cela met en lumière le fossé grandissant entre les pilotes, qui réclament la liberté d’expression, et la FIA, accusée d’imposer des règles d’hygiène en Formule 1 pour plaire à un public mondial. La radio de l’équipe, chargée d’émotions pures, est un élément fondamental du programme. L’interdire ou la censurer risque de dénaturer l’âme même de la diffusion.

Verstappen, fort de sa renommée et de sa popularité, est revenu à la normale. Sa stratégie – frapper peu mais frapper fort – non seulement humilie Ben Sulayem, mais électrise aussi les fans et les pilotes. Alors que 2025 promet d’être une saison passionnante et un souvenir impérissable, d’où viendra cette comparaison ? Une chose est sûre : Verstappen n’abandonnera pas facilement, et les circuits vibreront au son rauque du moteur et à l’écho de la révolte.

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