Révélé : les deux tests de genre ratés d’Imane Khelif qui ont conduit à son interdiction de boxe – et comment les militants éveillés ont ignoré les signes avant-coureurs pour lui permettre de concourir aux Jeux olympiques

Imane Khelif, figure montante de la boxe féminine algérienne et grande espoir du continent africain, est aujourd’hui au centre d’une polémique mondiale qui dépasse largement le cadre du ring. Selon des documents confidentiels récemment révélés, Khelif aurait échoué à deux tests de genre distincts au cours des douze derniers mois, entraînant son interdiction officielle de compétition internationale, y compris sa disqualification définitive pour les Jeux olympiques de Paris 2024.

Cette affaire, explosive par nature, soulève une série de questions dérangeantes sur l’aveuglement volontaire de certaines instances sportives et de groupes militants progressistes qui, selon plusieurs observateurs, ont préféré fermer les yeux sur des alertes médicales et biologiques précoces. Khelif, dont les performances sur le ring ont rapidement attiré l’attention, faisait l’objet de soupçons depuis au moins 2022, lorsque des anomalies hormonales avaient été détectées lors d’un premier test confidentiel en Afrique du Nord.

Malgré cela, sous la pression de mouvements prônant l’inclusion totale sans condition dans le sport féminin, la boxeuse avait été autorisée à poursuivre sa carrière, participant même à des tournois continentaux et à des stages olympiques. Ce n’est qu’après un second test, réalisé en janvier 2025 par un laboratoire indépendant sous mandat du CIO, que les instances internationales ont tranché : les taux de testostérone de Khelif dépassaient les limites réglementaires fixées pour les athlètes féminines, la rendant inéligible à toute compétition officielle.
Le scandale qui en découle est double. D’une part, il y a le cas personnel et tragique d’une athlète qui voit son rêve olympique s’effondrer à quelques mois des Jeux. D’autre part, il y a la responsabilité collective de ceux qui ont volontairement ignoré les signaux d’alarme pour éviter de paraître transphobes ou sexistes. Des militants dits “éveillés” (woke) sont aujourd’hui pointés du doigt pour avoir fait pression sur les fédérations sportives afin qu’elles assouplissent les règles de contrôle biologique, quitte à compromettre l’intégrité des compétitions.
Des figures du monde de la boxe féminine, comme la Française Estelle Mossely ou l’Américaine Claressa Shields, ont déjà exprimé publiquement leur frustration et leur colère. “On a toutes vu ce qui se passait. Ce n’était pas un secret dans les vestiaires. Mais personne n’a osé parler, de peur d’être accusée de discrimination”, confie une boxeuse européenne sous couvert d’anonymat.
La situation rappelle de manière troublante d’autres cas similaires dans l’athlétisme, notamment celui de Caster Semenya, où le débat entre droits individuels et équité sportive continue de diviser profondément l’opinion publique. Mais dans le cas de Khelif, le problème semble exacerbé par une volonté politique de dissimuler la vérité, au nom d’un agenda idéologique qui fait passer l’image publique avant la réalité biologique.
Aujourd’hui, des appels se multiplient pour une réforme plus rigoureuse des critères de genre dans le sport international. Certains demandent la création d’une catégorie “ouverte” pour les athlètes intersexes ou présentant des particularités hormonales. D’autres exigent un retour strict aux normes traditionnelles du sport féminin, sans exceptions.
Ce qui est sûr, c’est que le cas Imane Khelif restera comme un tournant dans l’histoire du sport féminin, illustrant les tensions explosives entre inclusion, science et justice sportive. Et au cœur de cette tourmente, une athlète sacrifiée sur l’autel du silence complice et des dogmes idéologiques.