Anthony Joshua, icône britannique des poids lourds, connu pour sa puissance dévastatrice et sa médaille d’or olympique, a toujours été perçu comme un athlète discipliné et un père dévoué. Pourtant, le double champion du monde unifié a récemment surpris tout le monde en déclarant qu’il ne voulait en aucun cas que son fils, Joseph “JJ” Joshua, devienne boxeur. La raison, longtemps restée secrète, a bouleversé ses fans.
« La boxe n’est pas aussi glamour qu’elle en a l’air »
Dans une interview sincère accordée à un média sportif britannique, Joshua a levé le voile sur la face cachée du monde de la boxe professionnelle — bien loin des projecteurs, des ceintures dorées et des tapis rouges. « Les gens voient la gloire, l’argent, la célébrité », a-t-il déclaré. « Mais ils ne voient pas les sacrifices, les blessures, la pression psychologique. La boxe, c’est brutal. Elle prend plus qu’elle ne donne. »
Aujourd’hui âgé de 34 ans, Joshua a confié que ce sport avait laissé des traces invisibles sur son corps et son esprit. « J’ai connu des nuits sans sommeil à cause de la douleur, des jours où je doutais de tout. Ce n’est pas une vie que je souhaite à mon fils. »
Père avant d’être boxeur
Depuis qu’il est devenu papa, Anthony Joshua a changé de perspective. « Être père m’a transformé. Ça m’a donné un sens nouveau à la vie », a-t-il partagé. Bien qu’il reconnaisse que la boxe lui a apporté des opportunités et de la rigueur, il souhaite préserver son fils de cette réalité. « Je me bats pour qu’il n’ait jamais à le faire », dit-il avec fermeté.
Joshua a expliqué qu’il rêvait pour JJ d’une vie libre, créative et surtout sécurisée. « Qu’il veuille devenir médecin, artiste ou entrepreneur, je le soutiendrai. Mais pas boxeur. »
Le secret choquant : un passé familial douloureux
Alors que beaucoup pensaient que sa position venait simplement d’un instinct paternel protecteur, Joshua a surpris tout le monde en révélant un épisode tragique de son passé : son cousin a subi une lésion cérébrale irréversible lors d’un combat amateur. Un drame resté secret pendant des années, qui a profondément marqué le boxeur.
« J’ai vu un membre de ma famille perdre sa mobilité, sa parole, son autonomie — à cause d’un seul combat », a-t-il révélé avec émotion. « C’est une image qui me hante. À chaque montée sur le ring, j’y pense. »
Ce témoignage bouleversant donne un tout autre éclairage à son refus catégorique. La peur de revivre un tel cauchemar avec son propre fils est bien réelle.
Réactions des fans : respect ou incompréhension ?
Les réactions du public ont été partagées. Certains admirent son honnêteté et sa tendresse paternelle, qualifiant Joshua de « véritable champion, dans le ring comme dans la vie ». D’autres, en revanche, se disent déçus, pensant que le talent pourrait se transmettre de père en fils, et que JJ devrait au moins avoir le choix.
Mais Joshua reste inflexible. « Je soutiendrai ses rêves, pas les miens. J’ai déjà vécu ma vie de boxeur. Il n’a pas besoin de ça. »
Un héritage au-delà du ring
Avec cette décision, Anthony Joshua redéfinit l’idée d’héritage. Pour lui, il ne s’agit plus de bâtir une lignée de combattants, mais d’élever un fils libre et protégé. Et même si le monde ne verra peut-être jamais « JJ » Joshua sur un ring, l’héritage d’Anthony, en tant que père et homme, restera incontestable.
Une chose est désormais sûre : le combat le plus important d’Anthony Joshua ne se joue plus sur le ring, mais dans la volonté farouche de préserver l’avenir de son fils.