🩸 IL N’A PLUS LE CHOIX : Barzalona n’a plus que deux mois chez Aga Khan avant d’être REMPLACÉ par le jockey le plus controversé du moment – Personne ne s’y attendait

Le monde hippique français n’en revient toujours pas. Mickaël Barzalona, l’un des jockeys les plus respectés de l’Hexagone, se retrouve désormais dans une situation critique qui menace de faire basculer toute sa carrière. Selon des sources proches du dossier, confirmées par plusieurs observateurs influents du milieu, l’idylle entre Barzalona et la prestigieuse casaque Aga Khan toucherait à sa fin. Pire encore : il ne lui resterait que deux petits mois pour sauver sa place avant d’être écarté au profit d’un jockey dont le nom fait déjà trembler les paddocks. Ce scénario improbable secoue les bases du turf français, car personne n’imaginait un tel coup de théâtre au sommet de la hiérarchie des jockeys.

Pour comprendre l’ampleur de ce tremblement de terre, il faut revenir quelques mois en arrière. En début d’année, Barzalona avait été nommé premier jockey officiel pour Aga Khan Studs, un poste convoité que beaucoup considéraient comme une consécration logique après ses saisons exceptionnelles. Mais la pression de ces nouvelles responsabilités semble avoir étouffé le crack français. Depuis son intronisation, les résultats n’ont pas suivi. Des places d’honneur, quelques podiums certes, mais aucune victoire marquante dans les Groupes majeurs. La désillusion a culminé à Royal Ascot, où Barzalona, pourtant attendu au tournant, est ressorti bredouille. Même sur les pistes françaises, la magie n’opère plus. À Lyon Parilly, il n’a terminé que deuxième dans des courses où il était archi-favori. Trop, c’est trop. Dans les coulisses, l’état-major de l’écurie Aga Khan commence à s’impatienter.

Et c’est là que l’histoire prend un virage totalement inattendu. Car pour remplacer Barzalona, un nom revient avec insistance : Pierre-Charles Boudot. Oui, le même Boudot accusé d’agression sexuelle il y a quelques années, suspendu, honni par une partie du public, mais toujours soutenu par certains propriétaires influents. Son éventuel retour en selle sous les couleurs de l’Aga Khan créerait une onde de choc sans précédent. Comment une écurie aussi prestigieuse pourrait-elle envisager une telle manœuvre, alors que la réputation du jockey est encore entachée par des polémiques judiciaires non résolues ? C’est précisément ce qui alimente aujourd’hui la colère et l’incompréhension des fans et des observateurs.
Barzalona, discret habituellement dans la presse, n’a pas encore réagi publiquement. Mais dans le petit monde feutré des écuries, beaucoup racontent que le jockey est conscient de l’épée de Damoclès suspendue au-dessus de sa tête. Deux mois. Huit semaines. C’est le délai officieux qui lui aurait été donné pour renverser la vapeur, retrouver le chemin de la victoire, et surtout prouver qu’il est encore digne de porter la casaque verte et rouge emblématique d’Aga Khan. Faute de quoi, l’impensable pourrait devenir réalité : être remplacé par le jockey le plus controversé du circuit européen.
La situation est d’autant plus tendue que cette décision potentielle divise même au sein des écuries. Certains soutiennent Barzalona corps et âme, mettant en avant ses qualités humaines et son palmarès. D’autres, plus cyniques, ne voient que les résultats bruts et réclament un changement immédiat. Une fracture est en train de naître dans un univers où tout repose sur la confiance et la loyauté. Le compte à rebours a commencé. Barzalona joue sa carrière sur les prochaines semaines. Le turf français, lui, retient son souffle.