Dans une révélation qui secoue le monde du cyclisme, des sources proches de l’entourage du champion Tadej Pogacar ont confirmé que sa compagne, la cycliste professionnelle slovène Urska Zigart, s’entraîne depuis plusieurs mois dans le plus grand secret… avec le même programme d’entraînement intensif et ultraciblé qui a permis à Pogacar de remporter trois Tours de France.
Ce « programme destructeur », comme l’ont surnommé certains membres du peloton, est réputé pour sa rigueur extrême : enchaînements de cols à haute intensité, séances d’intervalles simulant des étapes de montagne, contrôle millimétré de la nutrition et une charge mentale digne d’un camp militaire. Une méthode qui a transformé Pogacar en un coureur complet, explosif, endurant et stratège, redouté sur tous les terrains.
Selon plusieurs témoins, Zigart l’appliquerait “sans compromis” depuis la fin du printemps, déclarant à son équipe que “2025 sera son année”. Loin des projecteurs, elle aurait refusé plusieurs courses mineures pour se concentrer uniquement sur ce plan « quasi scientifique » conçu par les coachs personnels de Pogacar et modifié pour le profil féminin.
« Urska veut prouver qu’elle n’est pas simplement la compagne d’un champion, mais une championne en devenir. Elle a un mental de fer et un objectif clair : devenir la numéro un du peloton féminin », révèle un membre de son entourage sous couvert d’anonymat.
L’impact est immédiat : ses récentes performances à l’entraînement ont impressionné ses coéquipières, et des rumeurs courent déjà sur une explosion attendue lors du prochain Giro Donne ou du Tour de France Femmes.
Du côté de Pogacar, le soutien est total. Le Slovène aurait même ajusté ses propres entraînements pour accompagner Zigart dans ses sorties les plus exigeantes. Un duo désormais surnommé “les machines slovènes”, capable peut-être de réécrire les codes du cyclisme moderne, ensemble.
Le peloton féminin est prévenu : Urska Zigart ne vient plus pour suivre la roue — elle vient pour mener la course.
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