Michael Jordan critique la publicité Woke avec Robert De Niro : « Je ne le supporte pas ! »

La légende du basket Michael Jordan a déclenché une tempête de feu en refusant catégoriquement de s’associer à l’icône hollywoodienne Robert De Niro pour une publicité « woke », lâchant une bombe qui secoue à la fois les cercles du sport et du divertissement. Le sextuple champion NBA aurait refusé un contrat publicitaire lucratif, d’une valeur supposée de plusieurs millions, avec une seule remarque cinglante : « Je ne peux pas le supporter ! » Des sources proches de la situation, s’adressant aux médias le 4 mars 2025, affirment que le refus de Jordan n’était pas seulement professionnel, mais personnel. Alors que les détails fuitent et que les spéculations vont bon train, ce choc des titans s’annonce comme la confrontation culturelle que personne n’a vu venir.
Le drame a éclaté lorsqu’une grande marque – dont on a entendu parler de Nike, mais cela n’a pas été confirmé – a lancé une campagne très médiatisée associant Jordan et De Niro. Le concept ? Une publicité à forte connotation sociale abordant des questions brûlantes comme la justice raciale et le changement climatique, conçue pour s’aligner sur les tendances marketing « woke » d’aujourd’hui. De Niro, un acteur oscarisé connu pour ses opinions libérales tranchées, a été choisi comme co-star parfaite pour apporter du sérieux. Mais Jordan, le magnat d’Air Jordan de 62 ans qui a bâti un empire de 3 milliards de dollars en restant au-dessus de la mêlée, n’était pas d’accord. « Il ne s’est pas inscrit à une conférence », a révélé une source interne. « Michael leur a clairement dit qu’il ne le ferait pas – et De Niro en est la raison. »

Le dégoût de Jordan pour De Niro n’est pas vraiment un secret. Les deux ne se sont jamais croisés en public, mais les diatribes politiques de De Niro – comme sa pique aux Tony Awards 2018 contre le président de l’époque Trump ou ses tirades de 2024 contre le même – ont longtemps irrité l’icône de la NBA. « Michael a toujours gardé la politique hors de sa marque », a expliqué une source proche de Jordan. « Il voit De Niro comme un gars qui donne des leçons sur un piédestal hollywoodien, et il n’est pas là pour ça. » Cette friction a débordé lorsque le script de la publicité est arrivé, apparemment lourd de messages progressistes. Jordan, qui a un jour dit avec ironie « Les républicains achètent aussi des baskets », y a vu une trahison de son manuel de jeu neutre – et De Niro comme l’enfant chéri de tout ce qu’il préfère éviter.
Les retombées ont été immédiates et violentes. Les réseaux sociaux ont explosé, avec le hashtag #JordanVsDeNiro en tête des tendances quelques heures après la fuite. Les fans de Jordan ont applaudi sa prise de position, inondant X de messages tels que « MJ reste honnête, marre des bêtises woke ! » Pendant ce temps, le camp de De Niro a riposté subtilement, l’acteur ayant été aperçu en train de sourire aux paparazzis à New York, en disant : « Certaines personnes ne comprennent tout simplement pas. » Aucune des deux stars n’a officiellement commenté, mais le silence ne fait qu’alimenter la frénésie. Les experts en marketing sont divisés : certains qualifient la décision de Jordan de coup de maître pour protéger son héritage, d’autres préviennent qu’elle pourrait aliéner les fans plus jeunes et socialement conscients qui adorent l’activisme de De Niro.
Ce n’est pas la première fois que Jordan se frotte à la controverse, mais c’est la plus audacieuse de toutes. Dans les années 1990, il avait évité de soutenir un candidat au Sénat malgré la pression, consolidant ainsi sa position apolitique. De Niro, en revanche, a passé des décennies à brandir sa plate-forme comme un marteau-pilon, des rassemblements anti-Trump aux documentaires sur le climat. Les associer était toujours un pari risqué, mais la marque a probablement misé sur le fait que leur célébrité l’emportait sur leurs différences. Au lieu de cela, ils ont été critiqués publiquement – et un contrat de 5 millions de dollars, selon les rumeurs du secteur, est aujourd’hui en lambeaux. « C’est un choc de philosophies », explique l’analyste publicitaire Jane Carter. « Jordan vend la victoire. De Niro vend des causes. Ils n’auraient jamais pu s’entendre. »
Les effets d’entraînement se font déjà sentir. L’action Nike a chuté de 2 % en raison du buzz, mais les analystes attribuent ce phénomène à la nervosité du marché. L’équipe de De Niro serait en train de rechercher d’autres stars – le nom de Denzel Washington a été évoqué – pour sauver la publicité. Jordan, quant à lui, a doublé la mise en publiant sur Instagram une publication énigmatique de son trophée des Finales de 1996, sous-titrée « Stick to the game ». Les fans l’ont interprété comme une pique : le « jeu » hollywoodien de De Niro ne passe pas aux yeux de Jordan. Ce refus a également relancé les débats sur le soutien des célébrités à une époque polarisée : les marques peuvent-elles encore promouvoir le « woke » sans réaction ?
Pour l’instant, Jordan se porte bien. Sa ligne Air Jordan a rapporté 6,6 milliards de dollars l’année dernière, prouvant qu’il n’a pas besoin de De Niro ou d’une quelconque publicité pour rester roi. Mais cette dispute est un rare aperçu derrière son rideau de fer. Il s’avère que même MJ a des limites. De Niro, toujours provocateur, pourrait bien se lancer davantage dans la querelle. Une chose est claire : il ne s’agit plus d’une publicité. C’est Jordan contre De Niro, l’héritage contre la grande gueule, et la guerre culturelle vient de trouver son prochain grand combat. Qui a votre pari ?