C’est la nouvelle la plus folle, la plus improbable — et pourtant la plus virale — de cette décennie. Elon Musk, le magnat de la technologie et PDG de SpaceX, aurait discrètement financé un projet spatial d’envergure jamais vue, estimé à 40 000 milliards de dollars, avec à son bord… Taylor Swift elle-même, en tête d’une mission spatiale entièrement féminine prévue pour 2026.

L’information, d’abord classée top secret, a fuité grâce à un ancien ingénieur de SpaceX, qui a décrit le projet comme « une manœuvre audacieuse pour redistribuer le pouvoir mondial à travers une vitrine spatiale sans précédent ».
Une mission lunaire ou une stratégie géopolitique ?
Selon les documents obtenus par Insider Global, la mission baptisée “Athena 2026” inclut uniquement des femmes : scientifiques, pilotes, techniciennes, médecins… et célébrités. Parmi elles, Taylor Swift, dont l’entraînement d’astronaute aurait débuté discrètement dès 2023 à Houston sous couverture d’un documentaire sur « l’exploration émotionnelle de l’inconnu ».
NASA, bien que partenaire indirect de certaines infrastructures, se dit « choquée » par le silence entourant l’opération. « Nous savions qu’Elon préparait quelque chose, mais pas à cette échelle ni avec de telles figures publiques », a déclaré un porte-parole sous couvert d’anonymat.
Taylor Swift, capitaine cosmique ?
Oui, la pop star planétaire Taylor Swift serait bien la commandante symbolique de cette mission. Connue pour sa puissance médiatique, son intelligence stratégique et sa capacité à mobiliser des millions de fans, elle aurait été choisie non pas pour son expérience spatiale, mais pour sa force diplomatique, son charisme mondial et sa capacité à représenter « un nouveau leadership universel féminin ».
Des vidéos de ses entraînements en apesanteur auraient même fuité sur le dark web, avant d’être supprimées dans l’heure.
« C’est plus qu’un voyage spatial. C’est un signal au monde entier que l’influence n’a plus besoin d’uniforme militaire ou d’héritage patriarcal », affirme Leïla Dupuis, experte en géopolitique et technologies émergentes.
Une “conspiration” contre les puissances rivales ?
La rumeur enfle : le projet Athena viserait indirectement à établir une colonie privée sur la Lune ou Mars, hors du contrôle des grandes puissances comme la Chine ou la Russie. Un territoire de recherche, de culture et d’influence, où les élites choisies — toutes femmes — pourraient poser les bases d’un nouveau modèle social et technologique.
Des figures politiques de haut rang auraient déjà exprimé leur inquiétude. Certains parlent d’une “utopie spatiale” aux ambitions hégémoniques, d’autres crient au génie absolu.
Une fièvre planétaire
Sur les réseaux sociaux, le hashtag #SwiftToSpace explose, accumulant plus de 3 milliards de vues en 48 heures sur TikTok. Des fans se rassemblent devant les sièges de SpaceX, déguisés en astronautes ou en Swifties cosmiques, espérant un mot, une confirmation, un clin d’œil.
Pendant ce temps, Elon Musk reste silencieux. Son seul message, énigmatique, posté sur X (anciennement Twitter), est une citation latine : “Ad astra per feminam” — Vers les étoiles par la femme.
Que prépare réellement Musk ?
Personne ne sait exactement ce qu’Elon Musk espère accomplir avec ce projet colossal. Sauver l’humanité ? Reprendre le contrôle narratif mondial ? Bâtir une société parallèle ? Ou simplement, repousser les limites de l’imaginable ?
Une chose est certaine : la conquête spatiale ne sera plus jamais la même.