L’affaire judiciaire entourant Achraf Hakimi vient de franchir un nouveau cap explosif. Alors que le flou médiatique persistait depuis plusieurs mois, le procureur chargé du dossier a jeté un véritable pavé dans la mare en déclarant publiquement :
« Ce qui est arrivé à cette jeune fille de 24 ans est un crime de viol, au-delà même du crime d’outrage aux femmes. »

Cette intervention, aussi directe que rare dans la bouche d’un haut magistrat, a provoqué une onde de choc à travers le monde du football — et bien au-delà. Les mots employés laissent entendre que le parquet serait désormais déterminé à aller plus loin et à requalifier certains éléments du dossier comme crime aggravé, ce qui change radicalement la dimension de l’affaire.

La supposée victime, âgée de 24 ans, ne serait pas restée silencieuse face à cette nouvelle évolution. Selon plusieurs sources concordantes, elle aurait adressé un message volontairement mystérieux, composé de 11 mots, qualifié d’« avertissement glaçant » aux proches du joueur et à l’opinion publique :

« La vérité que vous croyez connaître ne vous sauvera pas. »
Cette phrase, rapidement relayée par les médias internationaux, a littéralement mis le feu aux réseaux sociaux, où les débats se sont intensifiés entre les partisans du joueur et ceux qui demandent justice pour la plaignante.
Face à la tempête médiatique, Hakimi — qui continue de clamer son innocence depuis le début — aurait réagi cinq minutes seulement après la déclaration du procureur, via son entourage ou ses avocats. Le communiqué relayé par plusieurs journaux assure que le joueur est « serein », qu’il « coopère pleinement avec la justice » et qu’il se dit « confiant que la vérité finira par triompher ». L’entourage du latéral marocain du PSG dénonce par ailleurs « une instrumentalisation médiatique » et craint que l’opinion publique ne soit biaisée avant même la fin de l’instruction.
Du côté du Paris Saint-Germain, c’est le silence absolu. Le club se refuse à tout commentaire, se retranchant derrière la présomption d’innocence. Néanmoins, plusieurs sources internes affirment que la situation est suivie minute par minute par la direction, qui redoute des répercussions sur l’image de l’institution.
Alors que le dossier entre dans une phase brûlante, la tension est à son comble : si les charges venaient à être requalifiées comme le laisse entendre le procureur, Hakimi pourrait faire face à une procédure nettement plus lourde que prévu.
Une chose est désormais certaine : l’affaire Hakimi est loin d’être terminée, et ce choc judiciaire risque encore de secouer l’été sportif et médiatique.