L’AGA INTERNE EST FISSURÉE : Maxime Guyon a été choisi de manière inattendue comme « NOUVEAU NUMÉRO 1 » pour remplacer Barzalona – Un drame underground vient d’exploser à Lyon

Le monde feutré des courses hippiques françaises vient de connaître un véritable séisme, et cette fois, ce n’est pas sur la piste que tout s’est joué, mais bien dans les coulisses d’une des écuries les plus puissantes et secrètes d’Europe : l’Aga Khan Stud. Alors que tout semblait verrouillé, huilé, indiscutable, une décision interne est tombée comme la foudre ce week-end à Lyon : Mickaël Barzalona, jockey vedette, ne serait plus le numéro un officiel de l’écurie. À sa place, Maxime Guyon, discret mais redoutablement efficace, aurait été désigné comme le nouveau visage de la maison princière. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que cette annonce a fait exploser des tensions longtemps contenues sous le vernis du prestige.

Tout a commencé lors d’un déjeuner stratégique tenu à huis clos dans un hôtel de luxe en périphérie lyonnaise. Selon des sources proches du dossier, plusieurs membres du cercle rapproché de l’écurie auraient exprimé leur mécontentement face à la gestion des dernières courses majeures, où Barzalona aurait, selon eux, manqué de « mordant » et de vision tactique. La goutte d’eau ? Sa défaite jugée inexplicable à Chantilly, alors qu’il montait un favori à 2 contre 1. Derrière les sourires et les photos officielles, l’ambiance était déjà glaciale. Le prince, visiblement agacé par la tournure des événements, aurait alors proposé une redistribution des rôles « à l’essai ». Mais ce qui s’est passé ensuite n’a rien eu d’un test : c’est une passation d’autorité pure et simple.

Maxime Guyon, longtemps considéré comme un éternel dauphin dans cette guerre d’egos feutrée, n’a pourtant rien fait publiquement pour revendiquer ce trône. C’est justement là que l’affaire prend un tour explosif : plusieurs observateurs affirment qu’il aurait été discrètement poussé par un groupe de propriétaires influents, lassés des “caprices” de Barzalona. Ce renversement silencieux est vécu par certains comme une trahison pure et simple. Le clan Barzalona, lui, reste silencieux, mais des signes de rupture sont apparus : désinscription surprise de certaines montes prévues, absence remarquée lors du traditionnel déjeuner de l’écurie dimanche dernier, et un post Instagram sibyllin publié puis supprimé : « Quand tout bascule sans prévenir… »
Les réseaux sociaux n’ont pas tardé à s’enflammer. Tandis que certains fans applaudissent le mérite et la régularité de Guyon, d’autres crient au scandale, dénonçant un complot orchestré en coulisses. « Barzalona est le visage moderne des courses, le seul à faire rêver la jeunesse », écrivait un internaute outré. « C’est du sabotage interne, une mise à mort déguisée », ajoutait un autre. Le hashtag #TeamBarzalona est rapidement monté en tendance, tandis que #GuyonNuméro1 est né quelques heures plus tard, signe que la fracture n’est pas près de se refermer.
Au-delà de la guerre des égos, ce retournement révèle aussi un changement de stratégie profond chez l’Aga Khan. Plus que jamais, la stabilité et la performance semblent primer sur le prestige et le panache. Guyon, réputé pour son professionnalisme à toute épreuve, incarne ce nouveau virage. Mais à quel prix ? Les prochaines semaines s’annoncent décisives : Barzalona acceptera-t-il ce déclassement silencieux ou ripostera-t-il à sa manière, en rejoignant un autre poids lourd du circuit ? Une chose est sûre : cette guerre froide au sommet ne fait que commencer.