C’est un retournement de situation que personne n’avait vu venir. Alors que les rumeurs d’un départ de Julian Alaphilippe semblaient se confirmer, le Français a finalement choisi de rester avec l’équipe Tudor Pro. Et pas de n’importe quelle manière : un contrat inédit, assorti de privilèges exclusifs, a été signé à la dernière minute, provoquant une onde de choc dans le monde du cyclisme professionnel.
L’annonce a immédiatement déclenché une vague de réactions. Fans, observateurs et même certains membres de l’équipe ont vivement critiqué le directeur sportif, Fabian Cancellara, accusé d’avoir cédé à des exigences jugées excessives. Face à la pression croissante, l’ancien champion suisse est sorti de son silence lors d’une conférence de presse tendue.

“Ce n’est pas une question d’argent, mais de vision à long terme,” a déclaré Cancellara.
“Julian ne reste pas simplement pour courir, il reste pour construire quelque chose avec nous.”
Une déclaration qui en dit long, mais qui soulève encore plus de questions. Quels sont exactement ces “privilèges particuliers” inclus dans le contrat ? Certains évoquent un rôle de co-leader, d’autres parlent d’un futur poste au sein de la direction sportive ou d’une implication dans le développement des jeunes talents de l’équipe.
Un pari risqué… ou visionnaire ?
À 33 ans, Julian Alaphilippe n’est plus au sommet de sa carrière, mais reste un nom incontournable du peloton. En misant sur lui, Tudor Pro envoie un message clair : l’expérience et le charisme comptent autant que les résultats. Mais ce choix audacieux divise, certains y voyant un coup de poker trop coûteux, d’autres saluant une stratégie intelligente pour renforcer l’image et l’ADN de l’équipe.
Quoi qu’il en soit, une chose est certaine : ce contrat “hors norme” a bouleversé l’équilibre des forces et relancé les débats sur la gestion des stars dans le cyclisme moderne.
L’histoire ne fait que commencer… et tous les regards sont désormais tournés vers la saison 2026.