💥 La « PIÈCE D’ÉCHECS SECRÈTE » de Barzalona Sheikh Mohammed pour battre les États-Unis à la Breeders’ Cup – La France est-elle en train de devenir une rampe de lancement pour la dynastie des Émirats arabes unis ?

Depuis plusieurs années, une stratégie discrète mais redoutablement efficace se met en place dans les coulisses des plus grandes courses internationales : Sheikh Mohammed bin Rashid Al Maktoum, le puissant souverain de Dubaï et patron de Godolphin, utilise la France comme un véritable laboratoire pour préparer ses futures conquêtes hippiques mondiales. La dernière pièce de cet échiquier complexe ? Mickaël Barzalona, ce jockey français que beaucoup considèrent aujourd’hui comme l’arme secrète du Sheikh dans sa guerre froide contre l’hégémonie américaine dans les courses de haut niveau.
La Breeders’ Cup, qui se tiendra bientôt aux États-Unis, est devenue bien plus qu’un simple rendez-vous sportif. C’est une bataille d’influence entre continents, entre écoles de course, entre traditions. Et dans cette guerre silencieuse, les Émirats arabes unis avancent leurs pions avec une précision chirurgicale. Mickaël Barzalona, formé en France, affuté à Longchamp et Chantilly, est au cœur de cette stratégie. Déjà vainqueur de la Dubai World Cup en 2012 à seulement 20 ans, il est devenu ces dernières saisons le jockey de confiance de Godolphin en Europe, en particulier en France, où les écuries bleues ont renforcé leur présence.

Ce que beaucoup ignorent, c’est que derrière chaque victoire « anodine » de Barzalona dans des Groupes en province française se cache en réalité une préparation minutieuse pour les grandes échéances internationales. Sheikh Mohammed a compris une chose essentielle : pour battre les Américains sur leur propre terrain, il faut un jockey capable d’anticiper, de surprendre, de casser les codes classiques de la monte européenne. Barzalona est cet homme. Sa capacité à attendre le dernier moment pour déclencher l’offensive, à lire une course comme une partie d’échecs, fait de lui une arme parfaite dans le plan global des Émirats.
Mais la question devient plus large : la France est-elle en train de devenir, volontairement ou non, une rampe de lancement pour les ambitions émiraties ? Avec des entraîneurs comme André Fabre ou Henri-Alex Pantall étroitement liés à l’entourage de Sheikh Mohammed, et avec des chevaux comme Victor Ludorum ou Earthlight passés par les pistes françaises avant de briller à l’international, le schéma est clair. La France sert de camp d’entraînement, de terrain de sélection, de tremplin discret avant l’assaut final.
Face aux mastodontes américains et britanniques, cette alliance franco-émiratie avance masquée, préférant le travail de l’ombre aux déclarations tapageuses. Mais cette année, à la Breeders’ Cup, il se pourrait bien que le monde entier découvre ce que certains initiés savent déjà : la pièce d’échecs secrète de Sheikh Mohammed a un nom, un visage, et il porte la casaque bleue royal de Godolphin. Mickaël Barzalona, discret, méthodique, implacable, pourrait bien être l’artisan de la chute de l’orgueil américain sur ses propres pistes.