Frédéric Vasseur a critiqué toutes les critiques de la FIA concernant la pénalité de « slice » infligée à Lewis Hamilton à Miami, et Ben Sulayem a répondu avec 6 mots qui l’ont laissée sans voix !
Un incident a secoué le monde de la Formule 1, avec une controverse opposant le directeur de Ferrari, Frédéric Vasseur, au président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem. La controverse faisait suite à la pénalité infligée à Lewis Hamilton lors du Grand Prix de Miami, une décision qui a suscité l’indignation non seulement des tifosi, mais aussi des autres recrues de l’écurie. La décision de Vasseur a été décisive, et sa parole a été prise en compte lors des discussions sur l’autorité de la FIA, et par une réponse directe de Ben Sulayem, qui a tourné en dérision sa parole qui lui a permis de tout quitter sans fiato.
Tout a commencé lorsque Hamilton a été sanctionné pour irrégularité présumée lors du Grand Prix de Miami, une décision qui a suscité de nombreux doutes et est difficile à comprendre. Selon la FIA, le pilote britannique a dû effectuer une manœuvre contraire aux règles de sécurité, et la décision d’infliger une pénalité à plusieurs pilotes, compte tenu d’autres situations similaires par le passé, ne permettait pas des sanctions aussi sévères.
Frédéric Vasseur, qui occupe toujours un poste important en Formule 1, n’a pas critiqué la décision de la FIA. Le directeur de l’équipe Ferrari a qualifié la sanction infligée à Hamilton d’« étrange » et « injustifiée », exprimant sa déception face à une décision qui, selon lui, ne semblait pas tenir compte d’une des réponses les plus expertes et les plus floues des pilotes. Vasseur a ajouté que la FIA devait faire preuve de plus de cohérence dans ses décisions judiciaires, laissant entendre que le manque de transparence des sanctions pourrait saper la confiance des pilotes et des experts dans le système.
Les critiques de Vasseur ont immédiatement attiré l’attention de nombreux participants, mais la réponse du président de la FIA, Mohammed Ben Sulayem, a été encore plus surprenante. Lors d’une réunion avec le commissaire, Ben Sulayem a répondu aux accusations de Vasseur avec une seule explication : « La FIA est toujours juste. » Quant à sa simple déclaration, le président s’est engagé à prendre toutes les mesures nécessaires pour discuter de la sévérité de la sanction, affirmant que la décision était conforme au règlement et qu’il n’y avait eu ni commentaires ni espionnage ultérieurs.
Les propos de Ben Sulayem ont été largement interprétés comme une défense vigoureuse de l’autorité de la FIA, mais aussi comme une façon d’éviter de nouvelles controverses sur une décision qui avait déjà suscité de nombreuses discussions. La réaction de Vasseur et le ton ferme de Ben Sulayem ont mis en évidence le fossé qui existe entre les équipes et l’instance dirigeante de la Formule 1, un fossé qui s’est manifesté à plusieurs reprises au fil des ans et qui continue de générer des frictions dans le paddock.
La pénalité infligée à Hamilton a également soulevé des questions quant à la cohérence du règlement de la Formule 1. Si la FIA s’efforce de maintenir un contrôle strict sur la sécurité et le respect des règles, on a le sentiment que les décisions sont parfois appliquées de manière arbitraire. Pilotes et équipes se retrouvent confrontés à un système qui peut paraître imprévisible et parfois injuste, et c’est ce que Vasseur a cherché à souligner dans sa critique.
La réponse de Ben Sulayem, bien que brève, a eu pour effet de clore immédiatement la discussion, du moins officiellement. Cependant, les répercussions de cette controverse pourraient continuer à se faire sentir, d’autant plus que de nombreux membres du paddock ont estimé que les six mots du président de la FIA ne répondaient pas suffisamment aux préoccupations soulevées par Vasseur et d’autres membres de la communauté de la Formule 1.
Alors que les fans continuent de débattre de la pénalité infligée à Hamilton, la situation a également mis en lumière un problème plus vaste : la nécessité d’une plus grande clarté et d’une plus grande cohérence dans les décisions de la FIA. La Formule 1, sport qui repose sur la précision et la fiabilité, pourrait bénéficier d’un système de pénalités plus transparent et plus compréhensible. Cela serait bénéfique non seulement pour les pilotes, mais aussi pour les équipes et les fans, qui suivent avec passion chaque détail de la compétition.
En définitive, la controverse entre Vasseur et Ben Sulayem a mis en lumière les difficultés de gestion et les tensions qui existent parfois entre les équipes et les instances dirigeantes de la Formule 1. Les six mots de Ben Sulayem, s’ils semblent clore définitivement le débat, pourraient en réalité ouvrir de nouvelles réflexions sur l’avenir de la réglementation et la relation entre les protagonistes de la Formule 1 et la FIA. Les fans et les experts continueront de suivre la situation de près, attendant de la FIA qu’elle apporte davantage de clarté et de réponses à l’avenir afin d’éviter que des controverses similaires ne se reproduisent.