🔥 Frédéric Vasseur a critiqué le monde entier en critiquant la FIA pour la pénalité « étrange » infligée à Lewis Hamilton à Miami, et Ben Sulayem a répondu avec 6 mots qui laissent tout le monde silencieux !

Le Grand Prix de Miami 2025 est le théâtre d’un drame inattendu, non pas en piste, mais dans les coulisses de la Formule 1. Frédéric Vasseur, le patron de la Scuderia Ferrari, a dévoilé une tempête médiatique en amont de la FIA après une sanction controversée infligée à son pilote vedette, Lewis Hamilton. Ce débordement, aussi audacieux qu’inattendu, a mis le paddock en émoi, jusqu’à ce que Mohammed Ben Sulayem, président de la FIA, réponde par une phrase laconique de six mots qui a laissé tout le monde, Vasseur compris, sans voix.

Une pénalité controversée

Tout a commencé lors du Grand Prix de Miami, cinquième manche de la saison 2025. Lewis Hamilton, septuple champion du monde, a écopé d’une pénalité de 5 secondes pour infraction au code minier lors d’un dépassement trop agressif des commissaires. Cette décision, qui a relégué Hamilton de la cinquième à la septième place, a surpris par son timing et sa sévérité apparente. Alors que le sprint final revenait à Hamilton avec une victoire éclatante, cette pénalité au Grand Prix semblait une sanction disproportionnée.

Frédéric Vasseur, connu pour son franc-parler, n’a pas mâché ses mots lors de la conférence de presse d’après-course. « Cette pénalité est étrange, pour ne pas dire incompréhensible », a-t-il déclaré, le visage marqué par la frustration. « Lewis a fait une course propre, il a poussé la voiture dans ses retranchements, comme tout champion le ferait. Pénaliser ainsi envoie un message confus aux pilotes et aux fans. La FIA doit clarifier ses critères, car nous nageons dans la confusion la plus totale. » Ces propos, inhabituellement directs pour un directeur d’équipe de l’envergure de Vasseur, ont immédiatement enflammé les réseaux sociaux et la presse spécialisée.

Une critique dans un contexte tendu

Cette intervention n’est pas anodine. Depuis plusieurs années, la FIA, sous la direction de Mohammed Ben Sulayem, doit faire face à des critiques récurrentes pour son manque de transparence et ses décisions parfois perçues comme incohérentes. Vasseur, qui a déjà exprimé des réserves sur certaines décisions de la FIA, semble avoir choisi Miami pour orchestrer un coup d’éclat. Il commente cette intervention dans un contexte où Ferrari, après un début de saison difficile marqué par une double disqualification en Chine, tente d’affirmer sa position face à des concurrents comme Red Bull et McLaren.

Mais Vasseur ne s’est pas contenté de critiquer la sanction. Il a également pointé du doigt une possible injustice dans le traitement des pilotes. « Pourquoi sanctionner Lewis pour un dépassement osé, alors que d’autres incidents similaires sont passés inaperçus ? », a-t-il demandé, faisant implicitement référence à des décisions passées qui auraient favorisé certains pilotes, comme Max Verstappen. Cette remarque a ravivé les tensions entre Ferrari et la FIA, rappelant la controverse de 2023 autour de l’annulation d’une pénalité infligée à Alonso en Arabie saoudite, où Ben Sulayem avait été accusé d’ingérence.

La réponse gazouillante de Ben Sulayem

Face à cette accusation, Mohammed Ben Sulayem n’a pas tardé à réagir. Dans une brève déclaration en marge du paddock, le président de la FIA a lancé une phrase qui a fait l’effet d’une bombe : « Ce sont les règles qui s’appliquent, pas les émotions. » Ces six mots, prononcés avec un calme glacial, ont non seulement clos le débat, mais ont également placé mon patron dans une position délicate. Suggérant que les critiques de Ferrari étaient davantage motivées par l’émotion que par la raison, Ben Sulayem a souvent repris l’argument contre les Français, réaffirmant ainsi l’autorité de la FIA.

Cette réponse a divisé les observateurs. Certes, elle témoigne de la retenue nécessaire au maintien de l’ordre, même dans le sport de compétition. Pour d’autres, elle reflète une certaine arrogance de la part de Ben Sulayem, qui semble enclin au dialogue avec les écuries. Sur les réseaux sociaux, les supporters d’Hamilton ont dénoncé un « manque de respect » envers leur champion, tandis que d’autres ont salué la concision et l’efficacité de la réponse.

Une bataille qui a dépassé Miami

Cet échange n’est pas le dernier épisode d’une relation complexe entre Vasseur, Ferrari et la FIA. Depuis sa prise de fonction à la tête de la Scuderia en 2023, Vasseur s’efforce de redonner à Ferrari sa gloire d’antan, tout en naviguant dans les eaux troubles des controverses réglementaires. Ses prises de position, comme son soutien indéfectible à Hamilton face aux critiques sur son âge ou ses performances, témoignent d’un manager prêt à défendre ses pilotes à tout prix.

Mais cette comparaison avec Ben Sulayem pourrait avoir des répercussions encore plus importantes. À l’approche des prochaines courses, notamment à Imola et à Monaco, Ferrari devra prouver que ses performances en piste peuvent faire plus de bruit que les controverses. De ce côté, la FIA doit démontrer que ses décisions sont justes et cohérentes, afin de ne pas s’aliéner les curieux et les fans.

Conclusion : un sport sous tension

Le Grand Prix de Miami 2025 restera dans les mémoires non seulement pour son spectacle en piste, mais aussi pour cet affrontement verbal entre deux figures majeures de la Formule 1. Frédéric Vasseur, par ses critiques audacieuses, a rappelé que Ferrari ne restera pas muette face à ce qu’elle perçoit comme une injustice. Mohammed Ben Sulayem, par sa réponse cinglante, a affirmé son autorité, mais il ne faut pas risquer d’attiser les tensions. Dans ce sport, chaque fois qu’elle est racontée, cette bataille en piste peut influencer la dynamique de la saison. Une chose est sûre : la Formule 1 ne cesse de nous surprendre.

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