Dans une révélation qui semble tout droit sortie d’un film de science-fiction, Elon Musk a annoncé que SpaceX prévoit d’envoyer ses premiers Starships vers Mars dans seulement deux ans, dans le cadre d’un projet titanesque estimé à 60 000 milliards de dollars. Ce programme sans précédent dans l’histoire de l’exploration spatiale pourrait ouvrir la voie à la première colonie humaine sur la planète rouge.

Un projet titanesque, un budget vertigineux
C’est lors d’une conférence privée retransmise en direct sur la plateforme X (anciennement Twitter) que Musk a partagé cette annonce explosive. Le patron de SpaceX a confirmé que plusieurs vols inhabités du vaisseau Starship seront envoyés vers Mars entre 2026 et 2027, afin de tester la faisabilité d’un transport interplanétaire régulier.
Le chiffre avancé — 60 000 000 000 000 dollars, soit soixante mille milliards — a immédiatement attiré l’attention des médias et du public. Ce budget couvre le développement, les infrastructures de lancement, les modules d’atterrissage, les bases automatisées sur Mars, ainsi qu’un soutien logistique à long terme pour une future présence humaine.
« C’est l’entreprise la plus ambitieuse jamais tentée par l’humanité. Si tout se passe bien, les humains suivront peu après », a déclaré Musk avec son assurance habituelle.
Le plan : étape par étape
Le programme serait divisé en trois grandes phases :
Phase de test sans équipage (2026–2027) : plusieurs Starships seront envoyés vers Mars pour transporter du matériel, de l’eau, des robots d’exploration, et des générateurs solaires. Ces missions prépareront le terrain pour l’arrivée humaine.
Phase de validation (2028) : si les missions sans équipage réussissent, des prototypes d’habitats martiens seront déployés et testés à distance.
Phase humaine (fin des années 2020 ou début 2030) : selon les résultats, un équipage humain pourrait embarquer pour Mars dans la décennie, avec comme objectif de poser les bases d’une colonie autosuffisante.
Objectif : civilisation multiplanétaire
Depuis des années, Elon Musk clame que l’avenir de l’humanité passe par la colonisation d’autres planètes. Ce projet colossale s’inscrit donc dans sa vision d’une civilisation multiplanétaire, capable de survivre à toute extinction potentielle sur Terre.
« Mars est rude, mais elle peut être notre deuxième maison. C’est une assurance pour l’humanité », affirme-t-il.
Réactions partagées
L’annonce a évidemment suscité des réactions contrastées. Certains saluent l’audace et la vision avant-gardiste de Musk, tandis que d’autres s’interrogent sur la faisabilité technique, les implications éthiques et surtout le financement d’un projet aussi colossal.
Des experts du secteur spatial soulignent que, même avec les avancées de SpaceX, les défis sont nombreux : radiation cosmique, autonomie alimentaire, psychologie humaine dans un environnement extrême, et la logistique du retour sur Terre.
Et les humains dans tout ça ?
Si les vols inhabités sont un succès, Musk estime qu’un équipage pourrait partir dès la fin de cette décennie. La sélection des astronautes et pionniers martiens serait très stricte, avec un entraînement intensif dans des environnements simulés sur Terre, comme les déserts ou les bases polaires.
Musk a également évoqué l’idée d’un billet aller simple pour les premiers colons, une proposition qui, selon lui, attirerait des milliers de volontaires déjà passionnés par l’aventure spatiale.
Conclusion
Qu’on le considère comme un rêveur fou ou un visionnaire génial, Elon Musk continue de repousser les limites de ce que l’on croyait possible. Son objectif de faire de Mars une destination réelle dans les deux prochaines années bouleverse les codes de l’aérospatiale et ravive l’imaginaire collectif.
Si les étoiles ont toujours fait rêver l’humanité, Elon Musk semble bien décidé à y emmener les premiers Terriens — coûte que coûte.