🔥 TRISTE NOUVELLE : « DANS LES COULISSES » Ce que Marie Vélon a fait dans les coulisses après la chute d’Iresine a choqué même les vétérinaires
Ce devait être une course comme les autres, un dimanche ordinaire pour les passionnés de galop, mais ce qui s’est passé ce jour-là sur l’hippodrome a bouleversé bien plus que le classement final. En quelques secondes, le drame s’est invité sur la piste : Iresine, l’un des chevaux les plus aimés du public et véritable pilier des dernières saisons, a lourdement chuté dans la dernière ligne droite. Le silence a envahi les tribunes. Mais c’est ce qui s’est passé ensuite, loin des caméras et des cris du public, qui a véritablement choqué tout le paddock.
Marie Vélon, qui montait Iresine ce jour-là, est restée de longues minutes au sol après l’incident. Visiblement touchée moralement bien plus que physiquement, elle a refusé d’être évacuée immédiatement. Elle a tenu à suivre le cheval jusque dans l’infirmerie vétérinaire mobile, en boitant, les larmes aux yeux, le visage marqué par l’émotion brute. Ce que les témoins racontent de ces instants est difficilement croyable pour ceux qui ne la connaissent pas.
Selon les membres de l’équipe vétérinaire présents sur place, Marie Vélon aurait refusé de quitter Iresine, même lorsque les soignants ont demandé de l’espace pour opérer les premiers gestes d’urgence. Elle s’est agenouillée à côté de l’animal, a posé sa main sur l’encolure du cheval, et lui a murmuré des mots que personne n’a pu entendre, mais dont la portée a été ressentie par tous. Un vétérinaire a déclaré, encore visiblement ému : « J’ai vu des jockeys affectés, bien sûr, mais jamais quelqu’un s’impliquer autant à ce point-là. Elle ne voyait plus rien autour, juste lui. »
Le geste qui a bouleversé les professionnels est venu quelques instants plus tard. Alors que le pronostic vital du cheval semblait incertain, Marie Vélon a sorti de sa poche une petite médaille en argent, qu’elle porte à chaque course depuis ses débuts, et l’a glissée sous le licol d’Iresine. Cette médaille, selon son entourage, est un talisman offert par son père lorsqu’elle était adolescente, censé la protéger en course. Elle l’a confiée au cheval « pour qu’il s’en sorte, même si elle, elle n’en avait plus besoin ».
Ce moment de pure émotion, chargé d’un mélange de douleur, de foi et de respect absolu envers son partenaire de course, a profondément marqué tout le personnel vétérinaire, les palefreniers et même certains propriétaires présents. Des larmes ont coulé, des vétérinaires se sont tus, et plusieurs jockeys, en apprenant la scène, ont publiquement salué le courage et l’humanité exceptionnelle de Marie.
Dans les heures qui ont suivi, alors que les nouvelles sur l’état de santé d’Iresine commençaient à circuler – heureusement stables mais sous surveillance – les réseaux sociaux se sont enflammés. Le hashtag #ForceIresine est devenu viral, accompagné de milliers de messages de soutien à l’animal mais aussi à sa cavalière.
Cette histoire rappelle crûment que les courses ne sont pas seulement des chiffres, des podiums ou des paris. Elles sont avant tout faites de relations profondes entre l’humain et l’animal, de respect, de douleur, d’espoir. Et à travers cet épisode tragique mais empreint d’une rare humanité, Marie Vélon vient, sans le vouloir, de montrer pourquoi elle est bien plus qu’une simple jockey : elle est le cœur battant de ce sport.
