Scandale Barzalona : L’interdiction de visa n’était que le début – une enquête révèle un complot visant à l’écarter de Royal Ascot
Ce qui semblait n’être qu’un simple problème administratif est en train de se transformer en l’un des scandales les plus retentissants de l’année dans le monde des courses hippiques. Mickaël Barzalona, jockey star français et figure emblématique des plus grands hippodromes européens, aurait été la cible d’un complot délibéré visant à l’empêcher de participer à Royal Ascot 2025. Selon des sources proches du dossier, une enquête confidentielle menée par les autorités françaises vient de révéler des éléments troublants : son refus de visa ne serait que la partie émergée de l’iceberg.
Barzalona, 33 ans, devait monter plusieurs chevaux pour l’écurie Godolphin lors de la prestigieuse réunion britannique. Mais à la surprise générale, sa demande de visa a été rejetée quelques jours avant l’événement, sans justification officielle claire. À l’époque, l’incident avait été qualifié de “retard technique” par son entourage. Cependant, les récentes révélations mettent en lumière une toute autre réalité, bien plus inquiétante.
Des documents internes consultés par un média spécialisé révèlent que certains agents influents dans le secteur auraient activement tenté de nuire à la réputation de Barzalona, en orchestrant une campagne souterraine visant à bloquer sa participation. L’objectif présumé ? Laisser le champ libre à d’autres jockeys dans une édition de Royal Ascot déjà marquée par des tensions de coulisses. Des messages cryptés échangés entre plusieurs intermédiaires laissent penser que des pressions auraient été exercées pour retarder, voire saboter, son dossier de demande de visa.
Si ces faits s’avèrent exacts, il s’agirait d’une tentative sans précédent d’écarter un compétiteur au sommet de sa carrière par des moyens non sportifs. Pour de nombreux observateurs, le timing est tout sauf anodin : Barzalona sortait de plusieurs performances solides à Chantilly et au Longchamp, et sa présence à Ascot représentait une menace directe pour plusieurs écuries anglaises. Certains vont même jusqu’à évoquer une “stratégie d’éviction silencieuse” menée par des rivaux jaloux ou désireux de contrôler les résultats.
De son côté, Mickaël Barzalona reste pour l’instant silencieux. Son équipe juridique se dit “choquée mais déterminée à faire éclater la vérité”. En privé, le jockey aurait confié à ses proches qu’il se sentait “trahi par un système qu’il pensait équitable”. Une plainte officielle devrait être déposée d’ici la fin de semaine, et une commission d’enquête pourrait être mise en place en lien avec le ministère des Sports.
Cette affaire relance le débat sur la transparence dans le monde des courses hippiques internationales. Jusqu’à quel point certains sont-ils prêts à aller pour gagner ? Le cas Barzalona pourrait bien faire jurisprudence, et servir de catalyseur pour une réforme plus large des pratiques d’attribution de visas et d’engagement des jockeys à l’échelle européenne.
En attendant, les fans s’indignent sur les réseaux sociaux, exigeant des réponses et la réintégration immédiate de Barzalona dans les compétitions majeures. L’hashtag #JusticePourBarzalona est désormais en tendance, preuve que l’opinion publique suit cette affaire de très près. Car au-delà du sport, c’est toute une question d’intégrité qui est posée. Et pour beaucoup, le mal est déjà fait.
