Paris, 1er août 2025 — Une déclaration forte et inattendue du président du Paris Saint-Germain, Nasser Al-Khelaïfi, agite actuellement le monde du football. Lors d’une conférence de presse tenue ce matin au centre d’entraînement du club, le dirigeant qatari est revenu sur un transfert qu’il considère aujourd’hui comme l’une des plus grandes erreurs de l’ère Luis Campos.
« Nous l’avons vendu à l’époque pour une faible indemnité de transfert, mais aujourd’hui, il vaut plus que Doué et Dembélé sur le marché. Nous regrettons encore de l’avoir laissé partir », a-t-il déclaré, visiblement agacé.
Même s’il n’a pas cité le nom du joueur en question, de nombreuses sources proches du club affirment qu’il s’agit de Xavi Simons, l’ancien prodige néerlandais du centre de formation du PSG. Parti très jeune vers le PSV Eindhoven avant de s’envoler pour Leipzig, Xavi Simons a connu une ascension fulgurante, devenant aujourd’hui l’un des milieux offensifs les plus courtisés d’Europe.
Sa valeur marchande aurait, selon Transfermarkt, déjà dépassé les 120 millions d’euros, un chiffre supérieur à celui de Bradley Barcola, Ousmane Dembélé ou encore le phénomène Désiré Doué, récemment approché par le PSG.
Ce regret exprimé publiquement par Al-Khelaïfi reflète également une autocritique plus large concernant la politique sportive du club ces dernières années. De nombreux jeunes talents issus du centre de formation ont été laissés partir trop tôt, souvent sans réelle opportunité de se faire une place dans l’équipe première.
Du côté des supporters, la frustration est palpable. Sur les réseaux sociaux, les hashtags #ErreurXaviSimons et #CamposOut sont rapidement montés en tendance. Certains réclament même que le club tente un retour du joueur, bien que cela s’annonce difficile, tant la concurrence est féroce.
🎙️ « Il était sous nos yeux… et on l’a laissé filer. Maintenant, tout le monde veut l’avoir », écrit un supporter amer sur X (anciennement Twitter).
🔮 Le PSG pourra-t-il un jour corriger cette erreur ? Ou Xavi Simons restera-t-il lesymbole de ce que Paris a perdu trop tôt ? Le débat est plus que jamais relancé.
