🔥 Christophe Soumillon s’apprête à signer un contrat NON RÉCLAMÉ avec Qatar Racing-Royal Ascot n’est que le début de la « fin » de sa carrière en France !
Christophe Soumillon, l’un des jockeys les plus titrés de l’histoire des courses hippiques françaises, s’apprête à franchir une étape inattendue et controversée de sa carrière. Alors que le nom de Soumillon résonne encore dans les tribunes de Longchamp, Deauville et Chantilly, une nouvelle fracassante secoue le milieu des courses : le crack belge serait sur le point de signer un contrat non réclamé avec Qatar Racing. Une nouvelle alliance qui pourrait bien marquer la rupture définitive entre Soumillon et le turf français. Et Royal Ascot, qui approche à grands pas, ne serait que le premier acte d’une sortie programmée par la petite porte.
Pendant des années, Christophe Soumillon a été l’homme fort d’Aga Khan, portant les casaques vertes et rouges au sommet de l’Europe hippique. Mais depuis sa suspension retentissante en 2022 après ce fameux coup de coude à Saint-Cloud, le vent a tourné. Les relations avec certains propriétaires français se sont tendues, et malgré des éclairs de génie en selle, le jockey belge a vu son influence diminuer. Plus récemment encore, certaines rumeurs faisaient état de tensions en coulisses avec plusieurs entraîneurs influents, lassés par l’image sulfureuse de celui qui fut jadis l’enfant chéri du galop français.
Le choix de Qatar Racing n’est pas anodin. Derrière cette casaque prestigieuse se cache l’ambition d’un empire hippique qui regarde davantage vers l’international que vers les vieux hippodromes français. Soumillon, en quête de rédemption et surtout d’opportunités au plus haut niveau, semble avoir choisi la fuite en avant. Royal Ascot, vitrine mondiale des courses, apparaît ainsi comme le théâtre parfait pour orchestrer ce nouveau départ. Mais ce contrat, qualifié de « non réclamé » par plusieurs observateurs, témoigne aussi du désintérêt croissant des écuries françaises pour un Soumillon jugé imprévisible, difficile à gérer et dont le talent brut ne suffit plus à éclipser les polémiques.
Si ce rapprochement avec Qatar Racing se confirme, cela marquerait symboliquement la fin d’une époque. Christophe Soumillon, recordman des Cravaches d’Or, idolâtré par des générations de turfistes français, quitterait par la petite porte un pays qui l’a vu triompher tant de fois. Car dans l’univers impitoyable des courses, le talent seul ne suffit plus : il faut l’adhésion, la confiance, la loyauté. Des valeurs que Soumillon semble aujourd’hui chercher ailleurs, dans un exil doré mais amer. Royal Ascot n’est que le début d’une sortie de scène qui ressemble moins à un triomphe qu’à un long crépuscule.
