ATTAQUE SUR LA PISTE ! Vasseur va massacrer Hamilton dans un désastre du GP d’Arabie Saoudite !

Le circuit de la Corniche de Djeddah s’est illuminé pour le Grand Prix d’Arabie saoudite 2025, mais pour Lewis Hamilton, ce fut un chapitre cauchemardesque de sa saga Ferrari. Le septuple champion du monde, autrefois figure de proue de la domination, a été bouleversé lorsque Fred Vasseur, directeur de l’équipe Ferrari, a défendu avec véhémence la performance décevante de son pilote, révélant les failles de cette performance de rêve qui a secoué la Formule 1. La septième place d’Hamilton, à 31 secondes du podium de son coéquipier Charles Leclerc, a dressé le sombre tableau d’une légende qui peine à s’adapter.

Dès le départ, Hamilton a connu des difficultés au volant de la Ferrari SF-25, qualifiant la course d’« horrible » et de « pas amusante du tout ». Embardé dans les virages avec un sous-virage massif et une dégradation dévastatrice des pneus, il a échangé sa place avec la McLaren de Lando Norris dans une lutte vaine pour la sixième place. Pendant ce temps, la course sereine de Leclerc pour la troisième place a mis en évidence le potentiel de la Ferrari, contrastant fortement avec les déboires d’Hamilton. Les données télémétriques étaient criantes de détresse : l’équilibre de la voiture d’Hamilton était mauvais et sa gestion des pneus laissait à désirer, ce qui lui faisait perdre du rythme dans les lignes droites rapides et les virages sinueux de Djeddah.

 
 
 

Vasseur, connu pour son approche pragmatique, n’a pas mâché ses mots. Dans une tirade enflammée après la course, il a balayé les suggestions selon lesquelles Hamilton était en déclin, insistant sur le fait que le problème était mécanique et non mental. « Nous avons des problèmes avec l’équilibre de la voiture et la façon dont Lewis gère les pneus », a lancé Vasseur, balayant les comparaisons avec les erreurs occasionnelles de Max Verstappen. « Je le soutiens à 1000 % », a-t-il déclaré, promettant de résoudre les problèmes de la SF-25. Pourtant, son soutien ardent n’a pas réussi à masquer la réalité : le changement radical de Hamilton chez Mercedes n’a pas fonctionné, et les fans sont de plus en plus inquiets.

La course elle-même fut un spectacle mêlant chaos et brillance. Oscar Piastri (McLaren) s’imposa après une pénalité de cinq secondes infligée à Verstappen pour une manœuvre audacieuse au virage 2, prenant ainsi la tête du championnat, devenant ainsi le premier Australien à réaliser cet exploit depuis 2010. Malgré ce contretemps, Verstappen s’accrocha à la deuxième place, tandis que le podium de Leclerc offrit une lueur d’espoir à Ferrari. Mais les commentaires démoralisés d’Hamilton après la course volèrent la vedette. « Ça va être douloureux pour le reste de l’année », admit-il, laissant entrevoir une saison difficile sans solution miracle.

 
 
 

L’impitoyable circuit urbain de Djeddah, avec ses 27 virages et sa vitesse moyenne de 250 km/h, a révélé toutes ses faiblesses. Pour Hamilton, ce fut un rappel brutal de son adaptation continue à la machine extraterrestre de Ferrari, bien loin de sa zone de confort Mercedes. La confiance de Vasseur en son pilote vedette est inébranlable, mais le temps presse. Avec McLaren dominant et Red Bull en embuscade, la quête de Ferrari pour les deux championnats dépend de la capacité à libérer le potentiel d’Hamilton.

Alors que le cirque de la F1 se dirige vers Miami, les questions se multiplient. Vasseur et Hamilton parviendront-ils à raviver la magie de leur titre de champion junior de 2006 ? Ou le pari de Ferrari sur une légende de 40 ans s’effondrera-t-il sous le poids des attentes ? Une chose est sûre : dans le monde des enjeux élevés de la Formule 1, Djeddah fut un massacre que Hamilton n’oubliera pas de sitôt.

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