À 51 ans, Olivier Peslier brise le silence : « Les riches veulent m’écarter de l’Arc » – Des révélations CHOC sur les dessous du turf français

Le légendaire jockey Olivier Peslier, 51 ans, vient de faire voler en éclats le silence qui pesait sur sa carrière et sur les coulisses des courses hippiques françaises. Dans une déclaration aussi rare que fracassante, l’ancien quadruple vainqueur du Prix de l’Arc de Triomphe dénonce ouvertement des pressions venues d’en haut. « Les riches veulent m’écarter de l’Arc », affirme-t-il avec une amertume contenue mais bien réelle. Une accusation directe, puissante, qui soulève une onde de choc dans le monde feutré mais impitoyable du turf.

Peslier ne se contente pas de pointer du doigt une injustice sportive. Il évoque également, pour la première fois, des comportements racistes et discriminatoires d’une violence insoupçonnée. « Ce que j’ai vu, ce que j’ai subi… C’est pire que ce que vous imaginez. » Des propos lourds de sens, qui cassent l’image polie et lisse que certains veulent imposer à un sport où les enjeux financiers dictent trop souvent les règles du jeu. Ces déclarations, diffusées en exclusivité sur une chaîne spécialisée, ont enflammé les réseaux sociaux, propulsant le nom d’Olivier Peslier au sommet des tendances Facebook en quelques heures.

Champion respecté, Peslier n’a jamais été du genre à faire de vagues. Mais aujourd’hui, il n’a plus peur. Il parle pour lui, mais aussi pour toute une génération de jockeys qu’on pousse lentement vers la sortie au profit de visages plus jeunes, plus “bankables”, plus « présentables » selon certains agents influents. Il révèle l’existence d’un cercle fermé, où seuls quelques privilégiés choisissent qui mérite de monter les meilleurs chevaux, d’accéder aux plus grandes compétitions, et surtout à l’Arc, sommet absolu du turf européen. « On ne juge plus sur le talent ni l’expérience. On juge sur l’image, sur les relations, sur le carnet d’adresses. C’est devenu une farce », lâche-t-il.

Mais c’est la partie sur le racisme qui glace le sang. Olivier Peslier affirme avoir été témoin, voire victime, de remarques et d’attitudes à caractère discriminatoire, parfois lors de réunions officielles ou dans les coulisses des hippodromes. « Des mots que je ne peux même pas répéter ici. Et personne ne dit rien, car tout le monde a peur de perdre sa place. » Ce tabou, désormais brisé, expose une réalité dérangeante, longtemps ignorée ou étouffée par les instances officielles du galop.

Le public, lui, réagit massivement. Les commentaires affluent, entre soutien inconditionnel et stupeur face à l’ampleur des accusations. Plusieurs anciens jockeys et figures du turf ont commencé à exprimer leur solidarité avec Peslier, saluant son courage et appelant à une enquête indépendante. Les appels à la transparence se multiplient, tandis que certains médias généralistes commencent à s’intéresser à cette affaire qui dépasse largement le cadre du sport.

À 51 ans, Olivier Peslier prouve qu’il n’a rien perdu de son panache, ni en selle, ni face au système. Et même s’il ne monte plus aussi fréquemment dans les Groupes 1 qu’avant, il reste une voix incontournable. En dénonçant les dérives d’un milieu qu’il connaît mieux que quiconque, il relance un débat brûlant sur l’élitisme, le racisme et l’exclusion dans les courses hippiques françaises. Le Prix de l’Arc de Triomphe, joyau du turf, risque de ne plus jamais être perçu de la même manière.

Cette prise de parole marque peut-être un tournant. Elle montre que même dans un monde verrouillé par les puissants, il reste des hommes prêts à dire non. Et tant que des voix comme celle d’Olivier Peslier continueront à s’élever, l’espoir d’un turf plus juste, plus égalitaire, plus humain ne sera jamais totalement perdu.