Une équipe internationale d’archéologues a fait une découverte étonnante dans une région désertique d’Égypte : deux corps gigantesques, d’environ 9 mètres de haut, ont été retrouvés sous des couches de terre datant de plus de 5000 ans. Cette découverte, sans précédent dans l’histoire de l’archéologie, pourrait réécrire ce que nous savons des civilisations anciennes et de leur compréhension de « l’humain ».
La découverte a eu lieu alors que les chercheurs fouillaient un complexe de tombes oubliées au fin fond du désert égyptien. Selon le chef de l’équipe, le Dr Ahmed el-Hassan, les corps ont été retrouvés sous une couche de terre compactée qui protégeait les restes de l’érosion et du temps. « Ce que nous avons trouvé dépasse toutes les attentes. Ces figures colossales sont incroyablement bien conservées, et les datations préliminaires suggèrent qu’elles ont plus de cinq millénaires », a déclaré le Dr Hassan.
Les squelettes sont impressionnants tant par leur taille que par leur état de conservation. Chacun mesure environ 9 mètres de haut, avec des proportions anatomiquement correctes qui excluent la possibilité de difformités ou de conditions pathologiques connues. De plus, les restes montrent des signes de momification avancée, suggérant que ces figures gigantesques auraient pu tenir une place importante dans la culture et la mythologie de leur époque.
La découverte a déclenché une avalanche de théories parmi les experts. Une hypothèse suggère que ces « géants » pourraient être liés à d’anciens mythes sur des êtres de taille énorme qui habitaient la Terre. Les textes égyptiens, tels que le Livre des Morts, font référence à des personnages gigantesques interagissant avec des dieux et des pharaons, ce qui soulève la possibilité que ces corps soient des représentations réelles de ces contes.
Une autre théorie, plus prudente, suggère que les corps pourraient appartenir à une espèce humaine inconnue ou éteinte. Les analyses génétiques en cours cherchent à déterminer s’il existe une corrélation avec l’ADN humain moderne ou si, au contraire, ils représentent une branche entièrement différente de l’évolution.
En plus des corps, les archéologues ont trouvé des outils et des artefacts à grande échelle, apparemment conçus pour des mains de taille colossale. Parmi les objets récupérés figurent des armes de cérémonie, des bracelets ornés de motifs solaires et un gigantesque sarcophage sculpté dans la pierre, peut-être construit spécifiquement pour ces personnages.
Cette découverte soulève de profondes questions sur les civilisations anciennes et la possible coexistence avec des êtres de tailles extraordinaires. Cela remet également en question notre compréhension des documents historiques, qui jusqu’à présent n’avaient pas montré de preuves concluantes de l’existence de géants.
« Cette découverte pourrait ouvrir une nouvelle fenêtre sur un passé que nous n’avions jamais imaginé », a déclaré le Dr Clara Menéndez, anthropologue à l’Institut européen d’études archéologiques. « Cela remet non seulement en question ce que nous pensons savoir de l’histoire humaine, mais aussi les interactions culturelles et les légendes que nous considérons souvent comme de la mythologie. »
L’équipe de recherche continue d’analyser les restes dans des laboratoires spécialisés, y compris des tests de datation au carbone et des études d’ADN. Les résultats préliminaires sont attendus dans les mois à venir, tandis que les fouilles sur le site sont toujours en cours.
Bien qu’il reste encore de nombreuses questions sans réponse, une chose est claire : cette découverte pourrait être l’une des plus importantes de l’histoire de l’archéologie moderne, apportant un nouvel éclairage sur les mystères du passé et la réalité possible derrière les légendes des géants.